Celles qui ne faisaient rien, désormais obligées de donner, auront une grosse somme ; celles qui donnaient un peu et seront obligées d'augmenter leur contribution auront une petite somme ; celles qui faisaient le maximum n'auront rien. J'espère que vous reviendrez très clairement sur ce point en nous garantissant que nous ne subirons pas une telle injustice. Les maires ne le comprendraient pas !
Je souhaite donc que vous nous rassuriez, monsieur le ministre, en nous indiquant très clairement que les communes qui faisaient déjà un effort seront remboursées comme les autres, à hauteur du nouvel effort exigé par la loi. J'espère qu'il n'y aura plus d'ambiguïté sur ce sujet au moins. J'évoquerai d'autres points à propos des amendements, mais je tenais tout d'abord à signaler cette difficulté – considérable dans plusieurs régions où l'enseignement catholique occupe une place importante.