Les données sont assez faciles à obtenir puisqu'il s'agit de diviser la consommation par le nombre de passagers-kilomètres. Ce n'est donc pas un chiffre mystérieux, contrairement à celui de l'empreinte carbone, qui est complexe et impose de recourir à des modèles climatiques compliqués. Vous avez dit 1,1 % ; Nos chiffres sont plutôt entre 1,5 % et 2 % que 1,1%, précédemment cité. Ce sont des chiffres publics de la communauté du transport aérien ; ils se trouvent sur les sites de l'IATA et du Groupe d'action pour le transport aérien – Air Transport Action Group (ATAG).