Il est important que le Parlement continue à définir le socle commun, car notre rôle, en tant qu'élus de la nation, est de fixer les objectifs du système éducatif. C'est pourquoi cet amendement a pour objet de compléter l'article L. 122-1-1 du code de l'éducation par deux phrases ainsi rédigées : « Ce socle comprend : la maîtrise de la langue française ; la maîtrise des principaux éléments de mathématiques ; une culture humaniste et scientifique permettant le libre exercice de la citoyenneté ; la pratique d'au moins une langue vivante étrangère ; la maîtrise des techniques usuelles de l'information et de la communication. Ces connaissances et compétences sont précisées par décret, après avis du Conseil supérieur des programmes. »
Il ne s'agit pas de se substituer à l'administration, en particulier à la direction générale de l'enseignement scolaire, mais il importe que le Parlement s'intéresse aux connaissances et aux compétences enseignées.