Cette demande de suppression est surprenante. Nous savons tous que l'école est au coeur du pacte social ; plutôt qu'une contrainte pour l'État, c'est un avantage et une belle promesse que d'offrir à 20 000 enfants la possibilité d'entrer dans notre système scolaire français.
Les études convergent toutes vers l'idée que c'est lorsque l'on apprend le plus tôt possible qu'il est plus aisé de faire l'acquisition des savoirs fondamentaux. C'est pourquoi nous nous prononcerons contre la suppression de cet article 2.