Reste que 26 000 élèves devront être scolarisés dans les prochaines années, avez-vous la garantie, monsieur le ministre, de disposer des moyens humains afin d'accueillir ces enfants dans de bonnes conditions ?
Par ailleurs, comme il est indiqué dans le rapport, sur les 26 000 élèves restant à scolariser à trois ans, 7 000 sont de Guyane et de Mayotte. Avec Bruno Studer, nous avons rédigé un rapport sur la rentrée scolaire à Mayotte et fait état de priorités en matière d'accueil, de restauration, de transports. Des adaptations spécifiques seront-elles arrêtées pour ces territoires où l'on sait que la scolarité à trois ans sera très difficile à mettre en oeuvre ?