Une mission va en effet être créée l'année prochaine, qui s'appuiera sur les travaux réalisés sous la précédente législature, notamment par M. de Courson et M. Potier. Nous nous pencherons sur la question des aléas et sur celle des critères à retenir pour que la DPA fonctionne mieux et soit plus efficace, afin de permettre une vraie résilience des exploitations. C'est un enjeu important, que les états généraux de l'alimentation ont également inscrit à leur agenda. L'idée est de parvenir à un dispositif vraiment efficace, adapté aux évolutions climatiques et aux aléas fréquents qu'elles entraînent.