Nous proposons d'ancrer dans la législation le principe de différenciation des évaluations conduites par le ministère de l'éducation nationale sur les acquis des élèves, selon les spécificités de chacun d'eux. Il faut en effet tenir compte des capacités cognitives, psychiques ou physiques particulières des personnes en situation de handicap.
Suivant l'avis favorable de la rapporteure, la commission adopte l'amendement.