L'objectif que vous poursuivez – c'est-à-dire de pouvoir bénéficier des apports étrangers, notamment en matière d'évaluation, dès lors que certains pays se sont fait remarquer par l'excellence de leur système dans ce domaine – est tout à fait celui du texte, et j'y souscris bien évidemment. Je souligne par ailleurs que la nouvelle rédaction proposée pour l'article L. 241-13 du code de l'éducation prévoit explicitement que le Conseil d'évaluation de l'école est composé de « membres de nationalité française ou étrangère », précisément pour les raisons que vous évoquez : il est précieux de pouvoir s'appuyer sur un éclairage international et, le cas échéant, de faire du benchmarking. C'est d'ailleurs pour cette même raison que le CNESCO accueille deux membres de nationalité étrangère. Votre amendement est satisfait : je vous demande de le retirer.