La réponse de M. le ministre me satisfait sur certains points mais je n'adhère pas à l'idée selon laquelle le caractère national n'existerait pas encore. Dans le second degré, le caractère national des enseignements et des formations existe bel et bien ; les enseignements ne diffèrent pas selon les professeurs et les lieux. L'argument me surprend.
En revanche, s'agissant du socle commun, les directeurs d'ESPÉ que nous avons auditionnés nous ont parlé de la laïcité, un élément qui mériterait de figurer dans ce socle national car, en la matière, ils se sentent parfois démunis, en ce qui concerne la lutte contre la radicalisation notamment.