Le taux de sucre autorisé dans les territoires ultramarins, était en effet supérieur à celui qui est admis au niveau national – on aurait culturellement l'habitude de manger plus sucré ; je ne sais pas d'où sort cette théorie. En tout cas, on a voté une loi qui impose le respect du taux national. Or, aujourd'hui, quatre à cinq ans après, on constate qu'elle n'est toujours pas appliquée. Et nos pères, nos frères, nos soeurs ou nos cousins continuent à avoir du diabète et en meurent parfois… Oui, nous pourrions avancer sur le sujet.