Nous avons déjà eu ces débats lors des lectures précédentes. Je me contenterai donc de répondre aux propos de certains collègues évoquant les garanties qui auraient été introduites par le Sénat. Que je sache, c'est l'Assemblée nationale qui a exclu les cas complexes de ce dispositif ; c'est elle qui a précisé que le directeur de la CAF n'aurait pas de pouvoir d'appréciation dans ces dossiers, et c'est encore elle qui a prévu la possibilité d'un recours suspensif devant le juge aux affaires familiales sous le contrôle du président du TGI.
L'avis est donc défavorable sur l'ensemble de ces amendements.