Je pense, ma chère collègue, qu'il vaudrait mieux en effet suivre l'avis de la commission et du Gouvernement. Je me demande si on a fait le compte de toutes les journées, nationales ou autres, consacrées à toutes les causes diverses et variées ? J'ai bien peur que l'on en vienne à dépasser les 365 jours ! Il convient de rationaliser tout cela, sans quoi il sera très dur de mettre l'accent sur une cause plutôt qu'une autre, d'autant que toutes sont légitimes. À la fin, plus aucune d'entre elles n'est vraiment défendue.