– En 2012, Bruno Sido et moi-même avons publié un rapport sur la politique spatiale européenne. Nous avions, à cette occasion, évoqué le sujet des débris spatiaux, qui ne semblait pas du tout passionner la communauté spatiale à l'époque. Nous avions proposé un mode de financement pour la recherche, en soulignant qu'un organisme mondial percevant des fonds liés aux orbites, pourrait permettre de faire avancer la recherche sur ce thème. Depuis lors, un certain nombre de pays ont développé des projets, mais nous n'en connaissons pas le stade d'avancement. Votre technique, si elle voyait le jour, permettrait d'obtenir un système de laser embarqué de très petite taille quel que soit le système porteur. Dans ce cas, les débris seraient-ils entièrement détruits ?