parce que le monde est dangereux, nous ne servons ni les plus riches ni les plus fragiles : nous servons les Français.
Lorsque nous revenons sur une politique de l'éducation qui n'était, de mon point de vue, pas satisfaisante, comme celle qui a été mise en oeuvre dans les cinq années précédentes, nous ne le faisons ni pour les plus riches ni pour les plus faibles, mais pour les Français et pour leur niveau d'éducation.