Je conclurai par une petite pensée pour mon papa, qui a vécu trente-cinq ans dans un fauteuil roulant et qui me demandait souvent, lorsque je le maternais trop à son goût : « Tu me prends pour un handicapé ? » Je pense à lui aujourd'hui. S'il avait été là, bien des fois il se serait bouché les oreilles.