Je m'en voudrais, Monsieur Potier, de vous retirer ce succès. (Sourires.) Je suis également favorable à votre amendement. Le chiffre proposé me paraît raisonnable et équilibré. Il est très important de donner aux artisans le signal – et l'on rejoint tout le raisonnement que j'ai développé tout à l'heure – qu'ils peuvent grandir en gardant cette qualité. Certains veulent un seuil : je vais vous dire très franchement que cela ne me gênerait pas s'il était plus élevé. Puisque vous proposez 100 salariés, très bien.