Le rapporteur général a parfaitement exposé la position qui est celle de notre groupe. Nous devons trouver un équilibre sur ce sujet, car on ne peut ignorer les conséquences sur l'emploi que la suppression de cet article ne manquerait pas d'avoir, ni les dégâts que causent ces produits dans les pays qui les importent.
Il n'est pas question, Monsieur Dharréville, de se faire « un pognon de dingue », mais bien de prendre en considération tous les aspects de la question. Comme Mme la secrétaire d'État l'a rappelé, depuis l'adoption de la loi « ÉGALIM » la production de certains produits est interdite en France. Voulons-nous nous borner à jeter une goutte d'eau dans un océan, ou voulons-nous que ce problème soit traité à l'échelle européenne ? Nous pensons que c'est à ce niveau que des solutions doivent être trouvées.