Monsieur le rapporteur général, vous avez donc été champion olympique, je m'en félicite ! (Sourires.)
S'agissant de l'accompagnement des entreprises, nous pressentons qu'il y a un sentiment d'abandon et de relégation d'une partie des territoires. Dans mon département, le Vaucluse, l'un des plus pauvres de France, la CCI est en crise et peine à faire face à ses missions. Or la politique menée n'est pas une politique d'aménagement du territoire, mais une véritable politique de déménagement du territoire. On est en train de couper les liens avec ces territoires, qui ont besoin d'une offre spécialisée. Et ce sont effectivement les petites CCI qui risquent de faire les frais de votre approche. Je ne conteste pas l'objectif, mais je crois qu'il y a un manque de différenciation dans les moyens qui sont donnés.