Vous avez moins d'activité onirique que moi !
Il faut rester maîtres de notre destin budgétaire pour ne pas avoir à nous réformer dans la douleur. Avec une dette publique dépassant les 2 200 milliards d'euros, soit près de 100 % de notre richesse nationale, le redressement de nos finances publiques n'est pas une nécessité : c'est un impératif, d'autant plus quand on sait que notre dette est détenue aux deux tiers par des étrangers. Un amendement du groupe communiste me poussera d'ailleurs à préciser à qui elle appartient.