C'était de la planification par l'État. Je ne suis pas certaine qu'une telle démarche répondrait aujourd'hui aux attentes des territoires. Je ne critique pas la DATAR, cependant, car elle correspondait à son époque.
Aujourd'hui, les élus des territoires attendent plutôt une sorte de DATAR inversée, à savoir un accompagnement, par un État protecteur, de leurs projets locaux.