J'entends parler depuis un moment de tout ce que nous ne devrions pas faire et de ce qu'il faudrait faire. Mais je n'y suis pour rien si j'ai trouvé la sous-préfecture de Narbonne vide quand, nouvellement élu député, j'en ai poussé la porte : ce n'est pas la présente majorité qui a vidé les services de l'État. Je veux bien entendre que l'on devrait faire ceci ou cela, mais la situation actuelle est celle que nous avons trouvée.