Vous avez mentionné la contraction de certains indices au cours des derniers mois, soulignant que le commerce ne joue plus son rôle de locomotive mondiale, ce qui a un impact sur les investissements nécessaires à la croissance. Et, même si elle est toujours à un niveau faible, l'inflation est repartie. Dans ce contexte, pensez-vous opportun l'arrêt de l'assouplissement quantitatif – quantitative easing – programmé par la Banque centrale européenne (BCE) pour décembre 2018 ?