Monsieur le ministre, la presse s'est faite l'écho de soupçons d'ingérence étrangère sur les réseaux sociaux ces dernières semaines, reprenant un article du quotidien britannique The Times sur une étude de la société spécialisée New Knowledge qui évoquait le rôle de centaines de comptes liés à la Russie ayant cherché à amplifier les manifestations de rue qui ont secoué la France. Pourriez-vous nous éclairer ? Nous savons à quel point les conséquences de telles ingérences peuvent être graves.