Monsieur le ministre, le sommet interparlementaire sur le G5 Sahel, dont l'Assemblée parlementaire de la francophonie – que j'ai la chance de présider – est partenaire, s'ouvre demain à l'initiative de Jacques Maire. Un certain nombre de propositions seront faites pour mieux impliquer les parlements des cinq pays du Sahel. Vous-même, concrètement, comment voyez-vous certaines initiatives des parlementaires ? Comment rendre plus efficiente l'intervention des parlements dans le G5 Sahel ?
Par ailleurs, quels retours avez-vous à propos des droits d'inscription des étudiants étrangers ? Nous-mêmes avons connaissance d'une incompréhension, voire d'une colère. Pourquoi n'avoir pas inscrit ces montants au budget de l'État ? Cela aurait permis un débat à l'Assemblée – la décision a été prise sans le moindre débat à l'Assemblée.