Je vous remercie, monsieur le ministre, pour le point que vous avez fait. Je vous poserai trois questions rapides.
Premièrement, comment voyez-vous la sortie de crise, sur le plan international, de la situation au Vénézuéla ?
Deuxièmement, il y a une grande inquiétude de nos compatriotes, comme vous le savez, concernant la question des djihadistes et leur éventuel retour dans notre pays. Ils ont le sentiment qu'il y a eu beaucoup de propos différents, un certain nombre d'atermoiements… Vous avez été très clair dans votre propos, mais je voudrais que vous reprécisiez devant notre commission la position de la France, aujourd'hui et demain, sur cette question.
Troisièmement, je me souviens de vos paroles, tenues ici même, à la suite d'une interpellation de ma part, sur le fait qu'il fallait arrêter, je vous cite, de « vendre les bijoux de famille ». Or j'ai eu vent d'une intention de vendre notre ambassade à Budapest. Est-ce une rumeur ou est-ce une réalité ? Je pense que ce n'est pas une bonne chose que de vendre nos ambassades au profit de locations dans des bureaux anonymes qui sont, d'ailleurs, souvent la propriété de Chinois.