Vous affirmez aussi que nous renonçons aux exigences européennes. Nous avons déjà eu ce débat en commission des finances, mais il faut beaucoup de malhonnêteté intellectuelle pour soutenir un tel argument. Lorsque nous sommes arrivés aux affaires, avec le Président de la République, le Premier ministre et mon collègue Gérald Darmanin, le déficit budgétaire s'établissait à 3,4 %, et 8 milliards d'euros manquaient à l'appel.