Il faut effectivement changer de nom. De là à se lancer dans une querelle sémantique… Je suis prête à soutenir la proposition de la rapporteure si tout le monde s'y rallie. Il n'y a pas lieu de discuter trop longtemps sur le sujet, pourvu que l'on choisisse un nom qui permette nettement de distinguer les deux instances, ainsi que leur niveau de compétence.