Avant mardi, si je puis formuler une demande, il faut convaincre Mme Buzyn, qui, tout à l'heure, m'a répondu par la négative. Celle-ci a même refusé que l'Union régionale des professionnels de santé – où siègent des gens qui savent, des gens dont c'est le travail quotidien – soit associée à la réflexion pour savoir dans quel cas on peut parler de désertification médicale et choisir les moyens permettant d'y remédier. Si l'on ne parvient pas à infléchir Mme Buzyn, l'Agence ne servira à rien.