Il vise à préciser que, pour réparer les fractures territoriales, il convient de cibler non pas l'ensemble des territoires mais certains d'entre eux : les plus en difficulté, ceux qui souffrent le plus et qui cumulent les fractures, comme l'ont dit certains collègues. Il y a lieu de concentrer les efforts les plus importants sur les territoires ruraux, insulaires et ultramarins ou dans certains quartiers de banlieue. C'est comme cela, me semble-t-il, que l'on parviendra à retisser le territoire et à donner de la cohésion à l'ensemble.