Juridiquement, non, madame la ministre. Les QPV obéissent à une définition juridique précise – ils sont 1 500 en France. La mention des quartiers urbains en difficulté permet d'élargir à d'autres quartiers que les QPV dont la liste est limitative. Sur le plan juridique, ce sont deux notions différentes. S'ils ne sont pas mentionnés, les quartiers urbains en difficulté ne seront pas aidés prioritairement par l'Agence, ni par l'ANRU. Certains quartiers seront dans un vide sidéral.