Madame la ministre, je vous remercie de votre réponse et retire les amendements nos 263 et 262 , non sans préciser ma pensée.
Ceux-ci ont été élaborés dans le cadre de la Délégation aux collectivités territoriales et à la décentralisation, lors de débats ayant pour objet les petites communes enchâssées dans les métropoles. Ils visent à faire en sorte que celles-ci, qui sont parfois oubliées, bénéficient également des projets de leur métropole.
Par ailleurs, nous nous sommes posé une question de façon très sincère. Chacun sait qu'il faudra s'adresser au préfet afin de bénéficier des services de l'ANCT.
En pratique, les oreilles de celui-ci sont plus ouvertes et plus attentives – à tout le moins, la fréquence des discussions est plus élevée – s'il a affaire à des patrons de métropole plutôt qu'à des patrons d'intercommunalités rurales, sans parler des communes rurales voisines des métropoles, dont les édiles ont moins encore son attention – je ne porte ici aucun jugement sur la pratique.