Comme mon collègue, je regrette de découvrir que le Gouvernement a déposé onze amendements qui modifient le texte dans des proportions qui nous étonnent. Je pense notamment aux questions de l'eau qui pourraient être un cavalier. Dans le cadre de notre travail parlementaire, nous nous astreignons à procéder à des auditions – nous en avons fait plus de vingt pour ce texte. C'est dommage de voir ce travail remis en question, en quelque sorte, puisque le texte change après les auditions. C'est un peu paradoxal. Je ne peux que regretter cet état de fait.