Je n'ai pas besoin de rappeler l'augmentation permanente et préoccupante de l'activité des urgences hospitalières, qui est en partie la conséquence de l'insuffisance de la participation de la médecine de ville à la permanence des soins et à la prise en charge des soins non programmés. Pour orienter les urgences entre hôpitaux et médecine de ville dans un sens plus équilibré, l'amendement AS1289 propose que l'ensemble des parties prenantes et des professionnels de santé élaborent les modalités de la permanence des soins dans le cadre du projet territorial de santé.