Tous les acteurs du terrain demandent de la souplesse et refusent de se voir imposer d'en haut des pratiques, des procédures ou une manière de fonctionner.
Si vous partagez cet objectif, monsieur le rapporteur, vous devez revoir votre position. Pour que les acteurs de terrain soient libres de s'organiser, il faut leur donner de la souplesse. Tout ce qu'ils attendent des instances nationales, c'est des moyens pérennes dans le temps.