Le premier amendement de M. Daniel renvoie à une question plus générale pour les vaccins. En effet, pourquoi ne pas réduire encore le nombre d'étapes, en permettant la dispensation directe du vaccin lors d'une consultation de médecine générale : le médecin aurait en stock quelques vaccins à proposer. Pour ce faire, il pourrait y avoir des protocoles de coopération entre une pharmacie d'officine et les médecins d'un territoire pour permettre aux médecins d'avoir chez eux un réfrigérateur sécurisé pour stocker des vaccins. Madame la ministre, qu'en pensez-vous ?