Je souscris à ce que vient de dire Éricka Bareigts. Le Défenseur des droits, dans son rapport annuel, présenté cette semaine, vient d'ailleurs d'appeler notre attention sur l'utilisation que nous faisons des outils numériques et sur les précautions à prendre – c'est particulièrement vrai dans le domaine de la santé. Ils ne doivent pas devenir, à notre corps défendant, des outils d'exclusion.