J'entends votre réponse, monsieur le rapporteur, mais – je sens que vous serez d'accord avec moi – mieux vaut prévenir que guérir, mieux vaut deux solutions qu'aucune. Et avec tout ce que nous savons sur les pénuries, dont un tiers a trait aux vaccins – hier, nous évoquions l'importance de la vaccination –, mieux vaut qu'il y ait deux solutions plutôt qu'une pour éviter toute pénurie, notamment dans les traitements de maladies chroniques, la chimiothérapie, les vaccins. Je ne vois pas pourquoi on n'adopterait pas cet amendement.