Nous sommes bien obligés d'autre part de constater que les États ont atteint le maximum de leur capacité de financement, si l'on veut rester au niveau de dette publique actuel, avec toutes les sanctions que nous risquons, notamment celles des agences de notation. Si nous continuons de respecter les règles du 3 %, et cetera, et cetera, nous ne pouvons pas y toucher. Du côté du financement des entreprises par les banques, nous sommes aussi au taquet.
Où allons-nous alors trouver les financements dont nous aurons besoin ?