Il est six heures moins le quart du matin. La première chose à dire, à cette heure, est une protestation contre une telle situation.
Ceux qui l'apprendront – car nous le ferons savoir – comprendront quelle folie il y a – même en nouvelle lecture – à débattre à cinq heures du matin des discriminations à l'embauche, à trois heures du tarif de l'électricité, et à cette heure-ci de tout ce que nous avons entendu.
Tout cela est absurde. C'est une folie ! C'est certainement la forme la plus grave de dysfonctionnement de la vie du Parlement, que cette situation dans laquelle nous nous plaçons à intervalle régulier. Je rappelle que la session unique a été instaurée afin qu'il n'y ait plus de séance de nuit ni de session extraordinaire.