Une chose est sûre : nous ne sommes pas tous d'accord sur la privatisation d'Aéroports de Paris, pour des raisons que nous avons développées tout au long de nos débats. Nos discussions ont, je crois, éclairé les motivations des uns et des autres. Mais, collectivement, nous devons être certains d'une chose : la majorité a pris conscience des erreurs commises dans le passé. Nous continuons de croire que le rôle de l'État n'est pas de gérer un centre commercial. En revanche, il doit relever les défis économiques qui nous attendent, et la France doit être à la hauteur de notre ambition. Le fonds d'innovation et de rupture doit être un instrument de notre stratégie économique.
Tout ce que nous faisons, nous le faisons de façon responsable, humble, et dans l'intérêt de la France et des Français.