La réforme que nous défendons est issue de concertations très étroites avec les facultés de médecine et les associations étudiantes. Toutes ont confirmé très clairement la nécessité d'un examen national pour accéder au troisième cycle des études de médecine, ce que j'ai rappelé en précisant la forme que prendrait l'évaluation des connaissances. Ce caractère national a été demandé comme un gage d'équité pour les étudiants ainsi que pour l'ensemble de nos concitoyens. Par ailleurs, le principe de régionalisation existait préalablement à la mise en place des ECN, en 2004, et chacun peut se rappeler à quel point ce système n'était ni satisfaisant ni efficient. Avis défavorable.