Elle aurait présenté un véritable risque si elle avait concerné les étudiants de troisième cycle, mais elle concerne essentiellement les étudiants de deuxième cycle, qu'il s'agit d'inciter à découvrir la pratique de la médecine en zone sous-dense.
J'ai été assez étonnée d'entendre ma collègue dire que l'article contient les prémices de la coercition. Fort heureusement, les étudiants auront encore devant eux tout leur internat de troisième cycle, qu'ils pourront effectuer dans un centre hospitalier universitaire. Il est important, selon moi, d'ouvrir l'esprit des étudiants en médecine, et de les inciter à découvrir ce que peut être la pratique de la médecine générale, notamment en zone sous-dense. Je regrette donc que nous revenions sur les décisions votées en commission.