Merci, madame la députée. Vous avez très bien expliqué ce qu'il en est. Pour ma part, je suis perplexe : vous parliez d'éloignement, madame la ministre, en arguant que les zones rurales sont très loin des facultés. Mais les zones sous-denses ne se trouvent pas seulement dans les territoires ruraux, elles comprennent aussi des banlieues de grandes villes, comme nous en sommes tous convenus. On parle aussi de coercition, mais à chaque fois l'argument change, si bien que l'on comprend que la raison est ailleurs. Dites-nous donc où est réellement le problème, cela nous permettra d'avancer et de gagner du temps.
Vous écrivez vous-même dans votre rapport, monsieur Mesnier, qu'il faut généraliser les stages dans les zones sous-denses. C'est à n'y plus rien comprendre ! Les zones sous-denses constituant un problème, nous devons nous donner les moyens d'y envoyer des étudiants. Cela me semble être la raison.