Afin de renforcer le soutien à la médecine générale, il convient de faire de celle-ci le point d'entrée des soins, afin de poursuivre la réforme du médecin traitant.
Le nombre de médecins généralistes a considérablement baissé, à l'inverse du nombre des spécialistes. Pour la seule année 2018, il a diminué de 7 %. L'amendement vise donc à offrir plus de postes en médecine générale afin de rétablir l'équilibre dans la proportion entre généralistes et spécialistes. La France détient, en effet, le record européen en la matière avec une moitié de généralistes seulement.