La répartition du nombre d'internes par spécialité à l'entrée du troisième cycle dans les régions est arrêtée par l'ARS et l'université en fonction des besoins territoriaux. Votre amendement me semble donc satisfait.
J'abonde dans votre sens : dans de nombreuses régions, l'enjeu pour les années qui viennent sera de former des médecins généralistes en plus grand nombre. Avis défavorable.