notamment dans des lieux où l'on s'occupe des victimes de violences ou des personnes souffrant d'une addiction.
Pour ma part, j'avais eu une heure et demie de cours théorique sur l'addictologie, qui m'avait appris le nombre de grammes d'alcool présent dans les verres de vin que je buvais, mais je n'ai compris ce que cela signifiait que lorsque j'ai travaillé comme aide-soignante dans un centre d'addictologie.
Il faut privilégier l'efficacité : il n'y a pas lieu d'inscrire l'enseignement relatif aux violences faites aux femmes dans le texte, mais il faut le favoriser dans les stages, comme l'a dit Mme la ministre.