Avis défavorable. Nous avons débattu de ce sujet hier, et nous avons considéré que le contenu des formations ne relevait pas de la loi qui fixe des principes fondamentaux.
Mme la ministre des solidarités et de la santé et Mme la ministre de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation se sont engagées à écrire aux doyens pour leur faire part de l'ensemble des formations que les parlementaires veulent voir dispensées.
La question de l'accompagnement des aidants et du handicap est importante mais, vous l'avez tous constaté, il ne suffit pas de l'inscrire dans la loi pour que les choses évoluent dans la réalité.
Il me semble beaucoup plus important de prévoir que le parcours de l'étudiant lui permette de participer à des stages et à des formations sur le terrain : il en apprendra beaucoup plus qu'au cours de deux heures d'enseignement théorique. Et c'est aussi cela que nous faisons avec le projet de loi.