Je comprends que l'on soit ravi de pouvoir inscrire dans la loi des formations concernant le handicap. Hier, je vous rappelle que nous avions parlé des violences faites aux femmes, qui est aussi un sujet majeur, en plus des addictions. Le nombre de sujets dont il faut absolument s'emparer dans le cadre des formations est effectivement très élevé. Pour autant, ce texte de loi est-il le lieu où dresser la liste de tous ceux que vous mettez en avant dans vos amendements ? A contrario, qu'advient-il des sujets qui ne sont pas portés et qui pourtant revêtent une égale importance ?
Donc, ce sera un avis défavorable. Je pense qu'il faut faire les choses réellement plutôt que de faire semblant.