Je veux expliquer l'état d'esprit qui est le nôtre en exprimant notre soutien à ces deux amendements. Le fait est qu'ils prennent en compte la pénurie dans les territoires : il n'y a pour ainsi dire plus de médecine scolaire, ou du moins est-elle bien malade, et la détection des problèmes visuels des enfants se fait dans des conditions de plus en plus mauvaises, et de plus en plus tardivement. Dans certains territoires, comme chez moi, à Dieppe, il y a six mois d'attente pour un rendez-vous chez un ophtalmo !