Si nous bénéficions de cette grande qualité de service et de proximité, c'est grâce à l'organisation des vétérinaires eux-mêmes, qui ont créé des groupements vétérinaires. Il n'est pas utopique de penser qu'un service de santé humaine puisse fonctionner sur ce modèle, sauf à se satisfaire de soigner mieux les animaux que les humains.
Cet amendement marquerait le début d'une amélioration des services grâce à une mobilisation de tous les acteurs, et notamment des pharmaciens, afin de mieux assurer les urgences de proximité. Je souhaite qu'on le comprenne.